Dans le monde de Mass Effect, la Voie Lactée peut sembler carrément bondée. La galaxie du jeu est remplie de créatures de toutes tailles et de tous comportements, des Krogans fougueux et humbles Gardiens aux rares Collectionneurs et aux Yahg reclus. Il peut être difficile de garder une trace de la myriade et des races variées de la série, que votre commandant Shepard soit un soldat chevronné ou une recrue relativement fraîche qui n'a même pas encore enfilé une paire de Spectre Shades officielles.
Au début de la trilogie, l'humanité joue un petit rôle dans la politique galactique ; ils sont un peu en retard à la fête, après tout. Shepard change tout cela, bien sûr, en devenant le premier Spectre humain (les agents spéciaux d'élite du Conseil de la Citadelle galactique), en détruisant un Reaper (une race de calmars robotiques anciens et mortels) et en étant généralement un dur à cuire capable. Mais sans la coopération des autres peuples de la galaxie, Shepard n'aurait probablement jamais dépassé sa première mission.
Les Asari sont les plus sexy et, à certains égards, les plus convaincants. Ils ont été la première race (à part les anciens Prothéens - nous en parlerons plus tard) à découvrir les voyages interstellaires, ils vivent incroyablement longtemps et - c'est la meilleure partie - ils peuvent très bien se reproduire avec des membres de n'importe quelle autre espèce et sexe. Les Asari sont une race 'mono-genre', selon la coéquipière de Shepard, Liara T'Soni, mais cela ne fait pas de mal qu'ils ressemblent apparemment tous à la Diva de Le cinquième élément (moins le chant d'opéra, donc encore mieux).
Les Asari sont de fantastiques diplomates, mais ce sont les Krogan qui excellent au combat. Leurs corps musclés et puissants sont le résultat de milliers d'années de sélection naturelle, alors que les Krogans ont passé des millénaires piégés dans un hiver nucléaire auto-créé et auto-perpétué sur leur planète natale. En conséquence, ils sont durs comme des ongles, incroyablement épais et résistants à à peu près tout ce qui est toxique ou nocif pour la plupart des autres races.
Livrés à eux-mêmes, les Krogans pourraient bien s'être anéantis par la guerre nucléaire. Mais les Salarians, une race amphibie de scientifiques et d'espions hyperactifs et hyper intelligents, ont découvert leur sort et les ont aidés à accéder à la communauté galactique, en les utilisant pour éliminer un ennemi commun. Malheureusement pour les Krogan, dont les taux de reproduction ont grimpé en flèche une fois qu'ils ont quitté leur monde natal désolé, les Salariens ont ensuite été contraints de créer une arme biologique qui stériliserait pratiquement les Krogan à jamais : le génophage.
Mais les Salariens n'étaient pas sur le point de faire leur propre sale boulot. Au lieu de cela, ils employèrent les Turiens, dont la discipline féroce et la culture militariste en firent la force parfaite pour contrer la barbarie relativement instable des Krogans. Cela n'a pas fait de mal que les Turiens mesurent généralement bien plus de six pieds de haut, avec des caractéristiques aviaires vicieuses et la constitution biologique de prédateurs inconditionnels. Ils ont activé le génophage, réprimant la rébellion Krogan et se méritant un siège aux côtés des Asari et des Salarians au Conseil de la Citadelle.
Tout était rose (relativement parlant) jusqu'à ce que les Geth se déchaînent sur la galaxie environ mille ans plus tard. Les Quariens, férus de technologie mais finalement vulnérables en raison d'une immunodéficience aiguë, nécessitant l'utilisation constante de combinaisons d'environnement sophistiquées, ont créé les êtres artificiels pour aider aux tâches ménagères et ainsi de suite, mais comme les robots ont l'habitude de le faire, ils sont devenus sensibles et ont donné un coup de pied à leurs maîtres. hors de leur propre monde natal. Les Quariens ont été relégués à la flotte de migrants géante et nomade, et Shepard a encore reçu un autre gâchis à l'échelle galactique à effacer des siècles plus tard.
Cela nous amène au Drell, la dernière et la plus énigmatique des races à rejoindre la joyeuse bande de Shepard de marginaux et de joyeux hommes sauveurs de galaxies. D'apparence reptilienne, les Drell ont développé des souvenirs photographiques parfaits en raison des conditions difficiles de leur planète d'origine. Cela donne lieu à des conversations intéressantes entre Shepard et le coéquipier assassin de Drell, Thane Krios. Son peuple a été sauvé de son monde natal mourant par les Hanar, une mystérieuse race sensible qui ressemble à une méduse télépathique rose et brillante. Malheureusement, Shepard n'a pas encore de Hanar dans l'équipe (nous supposons qu'ils ne sont pas géniaux dans un combat).
Il y a beaucoup d'autres races qui n'ont pas encore fait partie de l'équipe de Shepard. La Citadelle abrite également les Gardiens secrets et dévoués, l'Elcor délibéré et laborieux, et le Volus, petit mais industrieux, sans parler des races non-Citadelles plus hostiles comme les Batarians renégats pirates à quatre yeux, les Yahg imposants, violents et intelligents. , et le Vorcha agressif et franchement grossier. Jusqu'à présent, ils ont tous été relégués à des rôles secondaires, mais on ne sait jamais qui pourrait rejoindre Shepard ensuite. Même les Geth rebelles ont contribué aux efforts de Shepard, avec Legion - une 'plate-forme mobile' vaguement humanoïde composée de 1 183 constructions Geth distinctes - rejoignant les bons dans ME 2.
Et puis, bien sûr, il y a les Moissonneurs eux-mêmes, la menace ultime pour toute vie galactique, revenus de leur hibernation millénaire entre les galaxies pour faire ce qu'ils font le mieux : détruire tout le monde. Leurs drones collecteurs insectoïdes se sont avérés être une opposition capable dans ME 2, et il a fallu la plupart du premier ME à Shepard and Co. pour simplement sortir une Moissonneuse. Maintenant, ils sont arrivés en force et tout le monde semble être fondamentalement foutu.
Mais la Voie lactée est immense, et nous avons encore tout Mass Effect 3 à explorer. Le dernier jeu de la trilogie ajoute au moins une nouvelle race à l'escadron de races familières de Shepard : les Prothéens, un peuple que l'on croyait éteint depuis au moins 50 000 ans, mais dont les restes de technologie ont formé la base de la civilisation galactique moderne. Que nous devions ou non payer 10 $ pour le privilège d'interagir avec ce nouveau personnage apparemment important est une toute autre discussion.
 | Par Mike Rougeau Écrivain collaborateur Date : 9 mars 2012 |
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